maux maudits.

Je ne sais pas si c'est le fait d'avoir écrit, d'avoir couché tous mes mots sur le clavier. Je ne sais pas si c'est d'avoir pris deux cuites ce week end, de m'être couchée la tête à l'envers et le ventre en vrac. Je ne sais pas si c'est d'avoir fait la fête, d'avoir danser, ri, défoulée, de m'être couchée épuisée. Je ne sais pas si tout ça n'est qu'un petit problème d'hormones. Un putain de petit problème mensuel et chronique feminin qui me retourne le cerveau à chaque fois. Et à chaque fois je cherche des raisons existentielles à mes soucis passagers et réguliers. Ou bien ces questionnements existenciels sont-ils amplifiés dans de tels jours...(?) Toujours est-il que sortir me fais un bien fou. Enfin une fatigue physique, non une fatigue mentale. Toujours est-il que de se prendre une petite cuite change les idées aussi. Un petit lavage de cerveau appréciable. Toujours est-il que d'écrire tous ces maux me soulage profondément. A la limite, peu m'importe si ces posts sont incompréhensibles à la lecture. Là n'est pas leur but.
Cette semaine, il y a éclaicie. Je suis contente.